Remian Walentynowicz Poliakow, né le 9 août 1974 à Sarkopol, est un homme politique et diplomate mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Iwan Nikolajewicz Kolceczew et Menisk Farfadowicz Dajelinow.
Remian Walentynowicz Poliakow est né en 1974 à Sarkopol, en bordure de ville, dans une famille riche issue de la haute bourgeoisie. Son père Walenty (1934-1994) est propriétaire d'un grand Cabinet de conseil, plus précisément d’une Société de conseil en stratégie, souvent mandatée par le gouvernement blanc. Poliakow a deux frères, Julian et Wladislaw, ainsi que deux sœurs, Maria et Olga.
Dans sa jeunesse, Poliakow est formé au métier de conseiller en stratégie, mais ce n'est pas là sa passion. Lorsqu'il finit son enseignement scolaire, il décida de s'éloigner de sa famille et de se rendre à Voïvograd, où il s'inscrivit, à l'âge de dis-et-septe (17) ans, à l'Académie Impériale de Voïvograd. Là, il obtint une bourse et put apprendre durant les dis (10) années à venir les filières dans lesquelles il se sentait le plus à l'aise : la politique et la diplomatie – où il rencontra d'ailleurs le Tsarévitch Wladimir Michajlowicz Bizanow, avec qui il eut des relations excellentes, malgré leurs sis (6) années de différence. Il sortit de son université, ses diplômes en poche – un Doctorat en diplomatie et un Master en politique – et commença sa carrière.
Il créa d'abord son propre parti, le Parti social-démocrate PSD en deuz mille dis-et-un (2011), qui gagna énormément de voix et arriva même à obtenir une centaine de sièges au Szovjit, avant de fusionner avec le Parti socialiste en deuz mille dis-et-catre (2014), dont il composa, désormais, près de la moitié des légats.
Il poursuivit ainsi sa carrière dans le monde de la politique, et devint même Ministre des Affaires étrangères – titre qui sera supprimé par Nicolas II de Morakhan au profit de Président du collège des Affaires étrangères – sous le régime Wladimirien, en 2015, avant de donner sa place à Son Haute Excellence, la Comtesse Aleksandra Alchalmaczow de Lewczek-Beżnenpow, ne supportant pas la pression des affaires Colipin (RP PROCHAIN !), préférant s'écarter temporairement des affaires politiques. Il reprit la politique en 2017, et fonda, avec d'autres personnalités, le Comité révolutionnaire, en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II, avec qui il ne partageait pas les mœurs, étant plus proche de son père et vieil ami, Wladimir Ier de Morakhan.
Actuellement, il est le Wolgin du comité, c'est-à-dire son chef provisoire.
Menisk Farfadowicz Dajelinow, né Menisk Farfadowicz Wal Dajelinow le 30 juillet 1981, est un homme politique et militant social mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Iwan Nikolajewicz Kolceczew et Remian Walentynowicz Poliakow. Menisk vient d'une famille de littéraires, et son père était propriétaire d'une maison d'édition, et, jusqu'à ses dix-et-six (16) ans, il a vécu avec sa famille dans un environnement riche. Sa famille est également originaire de la petite noblesse.
Puis, à ses dix-et-six (16) ans donc, en 1997, son père, déjà endetté jusqu'aux os, fit faillite et n’eut d'autre choix que de vendre ses entreprises à fin de payer ses dettes. C'est ainsy qu'il passa d'une vie de richard à celle d'une personne en dessous de la classe moyenne. C'est durant cette période, et déscolarisé pendant deux ans, qu'il côtoya les petites gens et arriva à les comprendre, à l'opposé de ses pairs. Il développa des idées socialistes révolutionnaires, et créa, en 1998, un groupe socialiste révolutionnaire avec les gens de son quartier, mais icelui fut vite démantelé par les forces de l'ordre et il fut placé en garde-à-vue pendant trois jours, là où ses amis le furent pendant trois ans – ce qui démontre l'extrême inégalité du système juridique et du système politique mor en général. Il parvint toutefois, deux ans plus tard, à réintégrer le système scolaire mor. En effet, et l'on ne sait par quel miracle, son père arrivait à ramener de l'argent tous les jours à la maison.
Le pauvre jeune homme ne put que finir son secondaire, avant que l'on ne découvre que l'argent que son père ramenait dans son ménage provenait en réalité de la vente de drogue et de faux papiers à des immigrants, notamment des achosiens, dont les velsniens disent, et vous le savez très bien, cher lecteur, qu'ils habitent dans la saleté, et plus précisément des maisons en défection. À dix-et-uit (18) ans, le simple Menisk vit sa famille divisée : son père allant en prison à jamais – c'est d'ailleurs la dernière fois qu'il le revoit –, et sa mère ainsy que ses frères, Maurcy, Colbek, Szalub et Jyzak, âgés respectivement de six (6), septe (7), neuf (9) et dix-et-un (11) ans, ne purent payer les loyers imposés. Cela rendit fou de rage le garçon, fou de rage contre le modèle social actuel, et le raffermit plus encore dans les idées de gauche – c'est d'ailleurs le plus à gauche du comité, peut-être un peu trop extrêmiste ? Grâce à sa bourse, Menisk put, et du surtout, loger et nourrir sa famille pendant quatre ans, devant alterner entre école et maison plus souvent que les autres personnes de son âge. Il put, par la grâce de Dieu, gagner son diplôme : un doctorat en politique en 2006, et, par la même grâce, certainement, sa mère put trouver un travail et il n’eut plus besoin de s'occuper de ses petits frères. Pourquoi avait-il choisi la politique ? Parce que c'était là-bas que l'on pouvait changer les choses, et c'était aussi là-bas que l'on gagnait en pouvoir et en notoriété.
C'est ainsy qu'en 2011, il rejoignit le Parti social-démocrate PSD de Remian Walentynowicz Poliakow. C'est d'ailleurs là-bas qu'il le rencontra et qu'ils devinrent bons amis. Il rejoignit aussi le Parti dans sa fusion avec le Parti Socialiste PS, même s’il était sceptique à la base concernant cette union ; il y fut convaincu par son ami et accepta de le rejoindre. Voilà un extrait de leur conversation : Remian, s’avançant vers son ami avec chaleur : — Mon cher Menisk, je vous trouve soucieux, le front chargé d’ombres. Serait-ce l’union prochaine de nos partis qui alourdit ainsi vos pensées ?
Menisk, inclinant légèrement la tête : — Vous devinez juste, Remian. Mon cœur hésite encore. Je crains que cette fusion ne dilue notre idéal dans des compromis qui, à force d’être tièdes, deviendraient stériles.
Remian, posant une main fraternelle sur son épaule : — Croyez-moi, mon ami, il ne s’agit point d’un abandon, mais d’un renfort. L’alliance avec le Parti socialiste ne fera pas pâlir nos couleurs ; elle les rendra plus éclatantes encore. À plusieurs, notre voix portera plus loin, et plus haut.
Menisk, après un silence méditatif : — Vous parlez avec une conviction qui m’ébranle, Remian. Je vois en vos yeux la flamme d’une sincérité qui me touche. Peut-être ai-je laissé mes craintes prendre trop de place…
Remian, souriant : — C’est le lot des esprits prudents que de douter. Mais souvenez-vous, mon cher Menisk : nul grand dessein ne s’accomplit sans un acte de foi. Joignez vos pas aux miens, et vous verrez que notre cause, loin de s’éteindre, s’élèvera dans une lumière nouvelle.
Menisk, d’une voix plus assurée : — Soit ! Puisque votre amitié m’y convie et que votre raison m’y engage, j’irai avec vous. Que l’union se fasse, et que nous soyons, côte à côte, les artisans d’un avenir plus juste.
Remian, avec une émotion contenue : — Voilà une parole qui m’honore et qui me réjouit. Ensemble, mon ami, nous servirons le peuple comme il le mérite. En 2017, il fonda, avec son ami et d'autres du monde gauchiste en Morakhan, mais plutôt des gauchistes modérés, plus modérés que Menisk en tout cas, le Comité révolutionnaire, en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II.
Actuellement, il est le Zarecznic chargé des Affaires étrangères du Comité, c'est-à-dire son Ministre des Affaires étrangères.
Iwan Nikolajewicz Kolceczew, né le 3 août 1961, est un homme politique et militant social mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Menisk Farfadowicz Dajelinow et Remian Walentynowicz Poliakow.
Iwan est un homme (je précise quand même, on ne sait jamais) originaire de Vladislav, ayant grandi dans une famille aux moyens modestes. Son père était un artiste, mais la vente de ses œuvres ne rapportait pas assez d'argent pour subvenir, seul, aux besoins de sa famille : sa femme, ses trois fils, et sa fille. Sa mère, quant à elle, pour arrondir les fins de mois, travaillait six jours sur sept dans une usine de production en chaîne de biens. Malgré ces efforts orchestrés par les deux parents, l'argent produit ne suffisait que pour scolariser trois enfants sur les quatre ; un choix difficile dut être fait par les deux parents, et icelui fut de scolariser leurs trois garçons, Jowan, Iwan, et Solbewan, et, pour assurer l'avenir de leur fille, Masza, ils durent la porter en mariage à un homme d’affaires teylais du nom d'Henri-Charles de Bonpourt-Siquebois. Malgré leurs vingt années d'écart, le riche homme tomba éperdument amoureux de la fille more lors d'une visite de la ville pendant ses rares vacances, et promit une énorme somme, énorme pour ces pauvres gens, à peu près un million et demi (1 669 344,57) de balkansk (= 20 000 dollars). Avec cette somme, leurs enfants purent être assurés de leur réussite scolaire.
En 1981, Iwan put finir ses études secondaires, et entra dans une université, où, contre l'avis de ses parents, qui le voyaient plutôt en économiste, il choisit la filière politique. Il termina ses études en 1991, et put démarrer sa carrière en politique. Il rejoignit le Parti socialiste PS, et, entre 1992 et 2002, commença, entre son travail et son temps libre, des études en comptabilité et en budget. Ce nouveau diplôme durement acquis lui permit, en 2015, sous le régime Wladimirien, de devenir Ministre du Budget et des Finances. C'est dans ce gouvernement qu'il rencontra Remian Walentynowicz Poliakow, et qu'ils se rapprochèrent. Sous la pression des affaires Colipin (RP PROCHAIN !), et comme de nombreux ministres, il décida de démissionner, au profit d'Aleksandr Michajlowicz Wal Woj Andrjuchin.
En 2017, avec des personnalités comme Remian Walentynowicz Poliakow et Menisk Farfadowicz Dajelinow, il fonda le Comité révolutionnaire en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II.
Actuellement, il est le Zarecznic chargé du Budget, et plus généralement, aidé d'autres, de la partie économique de la Morakhan.
Wladimir Michajlowicz Bizanow Double Fédération des Etats du Tsarat de Morakhan et des peuples de la Morakhan, 2017/07/28
Wladimir Michajlowicz Bizanow, ou encore Wladimir Ier, né le 18 mai 1968 à Voïvograd, est le tsar et Zagroj de la Double Fédération de Morakhan de 2005, à la mort de son père, jusqu'à sa propre mort en 2016. Il a donné son nom au régime dit « Wladimirien ».
Wladimir est issu de la plus grande famille de Morakhan : les Bizanow – il est le fils du tsar et Zagroj, Sa Majesté Impériale Michajl II de Morakhan, et de la grande-duchesse, Sa Majesté Impériale Marie Sofie Frédérique Alix Von Gud-Av-Gotenburg De Valkoïnenland ou Alexandra Kristianovna de Morakhan. Il a pour frères et sœurs Osip Michajlowicz Bizanow et Marina Michajlowna Bizanow.
Étant issu de la famille dirigeante more, Wladimir doit jongler entre les droits et les devoirs qui lui sont imposés par les codes des familles aristocratiques slaves de Morakhan. Il est tout d'abord éduqué en politique, en langue teylaise, un peu en économie, un peu en robotique – dont il se passionne –, un peu de stratégie, un peu de théâtre, un peu de bonne tenue, un peu de science de la vie aristocratique, et nombre de matières formant le quotidien de ses journées. Avec la fin de son secondaire, passé totalement en cours privés à domicile par des professeurs nationaux et internationaux, il allait, car tels étaient les choix de ses parents, entrer à l'Académie Impériale de Voïvograd, avec les filières de sciences politiques, d'architecture et d'administration étatique – cela allait bien sûr contre ses convictions, lui qui voulait faire de la robotique et des formations scientifiques, notamment dans les hydrocarbures. Ainsy, il commença sa formation. Pendant ses études, il croisa la route de Remian Walentynowicz Poliakow dans sa filière de politique. Ils devinrent bons amis et entretinrent de bonnes relations, même après leurs études. Wladimir finit donc ses études en 1996, avec une Maîtrise en politique, une Licence de 3ᵉ année en administration étatique et une Licence de 2ᵉ année en architecture. En 1999, il se maria avec la grande-duchesse, Sa Majesté Impériale Marie Sofie Frédérique Alix Von Gud-Av-Gotenburg De Valkoïnenland ou Alexandra Kristianovna de Morakhan, avec qui il eut Nikolaj Wladimirowicz Bizanow, Michajl Wladimirowicz Bizanow, Georgij Wladimirowicz Bizanow, Aleksandra Wladimirowna Bizanow et Olga Wladimirowna Bizanow.
À partir de ses 28 ans, Wladimir a occupé des fonctions honorifiques au sein du Conseil constitutionnel, où il a été formé aux rouages du pouvoir judiciaire et législatif. Il a rapidement été nommé co-maire de Sarkopol, où il a été confié à un sage-homme, et où il fut formé pour maîtriser le pouvoir exécutif. Dans les années 2000, pendant la crise institutionnelle de 2004, il joua un rôle de médiateur entre les factions socialistes et zagrojistes du Parlement mor. Son engagement en faveur du maintien de l’ordre et de la stabilité lui valut le soutien des élites militaires et de la bourgeoisie, mais aussi du peuple et des personnalités de tous bords, consolidant la confiance du peuple et des élites envers le futur régime qu'il allait créer.
C'est en 2005, après la mort de son père, Sa Majesté Impériale le tsar et Zagroj Michajl II de Morakhan, que Wladimir accéda au trône, et céda son vieux titre de carewicz pour celui de tsar et Zagroj sous le nom de Wladimir Ier de Morakhan, marquant le début d’une ère de démocratisation accrue du pouvoir et de renforcement de l’identité nationale. Au début de son règne, il entreprit de vastes réformes économiques, s’appuyant sur l’industrialisation et les nouvelles technologies pour affirmer l’indépendance économique du pays. Son gouvernement mit également l’accent sur le développement du nucléaire civil et militaire, voulant faire de la Morakhan une puissance énergétique régionale majeure. Cependant, ses rêves et aspirations furent bloqués nets par sa mort tragique – dite « naturelle », mais comment pouvons-nous en être sûrs ? peut-être est-ce un assassinat politique ? son fils en est-il le responsable ? pour avoir plus de réponses, attendez un nouveau numéro du clown du kartien Kartjowicz – en 2016, et, avec sa disparition, s'accompagna la disparition de ses idées, là où son fils est plus conservateur et souhaite revenir aux traditions – peut-être était-il aussi instable mentalement que son régime ?
Fonction :Miniszterelnök (ministre-président) de la République Socialiste de la Brann du Nord.
Biographie : Ramóna Miksa, né le 6 septembre 1982 à Podany-Kelet (brann) ou Ponady-Wostok (mor), est une femme d'état brann, et l'actuelle Miniszterelnök de la République Socialiste de la Brann du Nord, une nation et un pays, sous Concordat, de l'URSSAF.